Je m'appelle Amandine, et je me souviendrai toujours de cette nuit. Une de ces soirées qui commencent de manière anodine, mais qui finissent par bouleverser tout ce qu'on croyait connaître. Tout a débuté lors d'une escapade avec des amis dans une maison en bord de mer. L'air était doux, et la lune éclairait l'eau d'une lumière argentée, créant une atmosphère presque irréelle.

Nous étions tous réunis autour d'un feu de camp, à discuter et rire. J'avais revêtu une robe légère, qui flottait légèrement dans la brise marine, laissant apparaître de temps en temps mon joli cul bombé. 

Autour de moi, trois hommes que je connaissais bien : Hugo, Sébastien, et Théo. Ils étaient tous les trois charmants à leur manière, mais jusqu'à ce soir, je n'avais jamais envisagé que les choses puissent aller plus loin que l'amitié.

La soirée avançait, et je sentais une énergie différente autour du feu. Les regards étaient plus longs, les sourires plus appuyés, et cette tension subtile, presque imperceptible, s'installait. Hugo, avec son regard perçant et sa présence imposante, me regardait d'une manière qui m'envoyait des frissons. Sébastien, plus réservé, avait cette douceur dans ses gestes, toujours attentif à mon confort. Quant à Théo, son humour et sa désinvolture me faisaient souvent sourire, mais ce soir-là, il y avait une chaleur dans sa voix qui laissait entrevoir quelque chose de plus.

À un moment donné, l'un d'eux proposa de s'éloigner du groupe, d'aller marcher le long de la plage. J'acceptai, curieuse de voir où cette soirée allait nous mener. Nous avons marché en silence un moment, écoutant le bruit des vagues se brisant contre le rivage. 

Puis, Hugo brisa le silence :

"Amandine, tu sais qu'on t'apprécie beaucoup ?" dit-il, sa voix grave résonnant dans la nuit.

Je me tournai vers lui, surprise par la gravité de son ton. "Bien sûr, je le sais," répondis-je doucement, sans vraiment savoir où il voulait en venir.

Sébastien, toujours plus discret, se rapprocha de moi. "On a tous ressenti une certaine tension ce soir, non ?" Ses yeux brillaient dans l'obscurité, et je pouvais sentir son souffle chaud contre ma peau.

Théo, fidèle à son caractère taquin, ajouta en souriant : "Je crois qu'on est tous un peu sous ton charme, Amandine." Il avait dit ça avec légèreté, mais l'intensité de son regard démentait le ton de sa voix.

Mon cœur battait plus fort. Il y avait dans l'air une électricité palpable, une tension excitante qui me faisait perdre la tête. Je n'avais jamais envisagé une telle situation, mais en cet instant, tout semblait naturel, presque inévitable.

"Et si on arrêtait de tourner autour du pot ?" murmura Hugo en s'approchant lentement. Son regard me dévorait, et je ne pouvais pas nier l'effet qu'il avait sur moi.

Il posa doucement ses mains sur mes hanches, et je sentis une vague de chaleur m'envahir. Sébastien était juste derrière moi, et ses doigts effleuraient doucement mon bras, me faisant frémir. Je me sentais enveloppée par leur présence, attirée par leur désir, et une partie de moi voulait se laisser aller à cette nouvelle expérience.

Théo, toujours plus audacieux, se pencha pour déposer un baiser léger sur mon épaule dénudée. Ses lèvres laissèrent une traînée de chaleur sur ma peau, et je fermai les yeux, me laissant emporter par les sensations.

"T’as envie qu’on continue, Amandine ?" demanda doucement Sébastien, son souffle contre mon oreille.

Je pris une profonde inspiration, sentant mon corps réagir à chaque contact, chaque caresse. C'était un moment suspendu dans le temps, un instant où tous mes sens étaient en éveil. Je n'avais pas besoin de répondre, mon silence et mon corps parlaient pour moi.

Les gestes devinrent plus assurés, plus intimes. Hugo, avec sa passion brute, dirigeait ses doigts sur ma chatte qui commençait déjà à être bien trempée, tandis que Sébastien et Théo me bouffaient les seins en me claquant les fesses. C'était une danse intime, une chorégraphie de plaisir où chaque mouvement était fait pour amplifier mon désir.

D’un seul coup, Hugo se mit derrière moi et commença à enfoncer sa grosse bite dans ma chatte, pendant que les deux autres continuaient de manger mes seins juteux. Hugo accéléra le mouvement, jusqu’à me faire jouir une première fois.

Puis ce fut au tour de Sébastien de passer derrière moi. Il m’intima l’ordre de me pencher en avant :

"Penche toi en avant ma belle, et commence à pomper mes deux collègues"

Je me retrouvais immédiatement avec les bites d’Hugo et de Théo en bouche pendant que Sébastien me fourrait encore plus profondément. Au moment où j’allais jouir une seconde fois, il se retira subitement.

"Attends, ma belle, pas tout de suite…" s’exclama t’il. En passant le relais à Théo, le plus discret des trois. 

Au tour de Théo donc, de profiter de ma chatte déjà bien ouverte et trempée. Il commença doucement, à me pénétrer, avant d’accélérer le rythme tout en attrapant mes cheveux, pendant que Sébastien tapotait sa bite contre ma joue. C’est alors que je senti une vague de chaleur envahir ma chatte. Théo venait de jouir en moi…

Quelques secondes plus tard à peine, Sébastien se vidait les couilles sur mon visage, surement trop excité par le fait de voir son pote éjaculer dans ma chatte !

"Tiens salope, tu l’as bien mérité !" me dit-il l’air satisfait.

A ce moment-là, Hugo m’ordonna de me mettre à genoux devant lui. 

"Mets-toi à genoux ma belle, j’ai un cadeau pour toi…"

Je m’exécutais, sentant le jus de Théo couler hors de ma chatte et celui de Sébastien dégouliner sur mon visage, jusque dans ma bouche… C’est alors qu’Hugo explosa à son tour, projetant une quantité de sperme incroyable sur mes gros seins…

Tous les trois se mirent devant moi, et je prenais leurs bites en bouche pour les nettoyer une après l’autre…

Quelques instants plus tard, je me retrouvai allongée sur le sable chaud, entourée par eux. Leurs corps se pressaient contre le mien, chaque mouvement soigneusement calculé pour intensifier l’envie qui montait en moi. 

"Tu es tellement belle comme ça," murmura Hugo, son souffle chaud contre ma peau. 

Nous restâmes là, tous les quatre, allongés sur le sable, la respiration encore saccadée, le cœur battant à l'unisson. Un sourire satisfait flottait sur mes lèvres, et je sentis les bras de Sébastien se glisser autour de moi, me tirant doucement contre lui. Hugo s'étira à mes côtés tandis que Théo s'allongeait tranquillement, ses doigts jouant distraitement avec une mèche de mes cheveux.

C'était un moment de pure magie, une nuit que je n'oublierai jamais.