La tentation à ma porte

La tentation à ma porte

Publiée le 23/10/2024 à 02h59
La tentation à ma porte - Rdv Gays

Je me souviens encore de ce matin-là. Le ciel était couvert, le genre de journée où tu n’as envie de rien faire. Mon mari, Marc, était parti depuis plusieurs jours pour un voyage d’affaires. Ça devenait une habitude. Lui, toujours en déplacement, et moi, seule à la maison. Les journées étaient longues, rythmées par des tâches ménagères répétitives et un silence pesant. Je ne me plaignais pas vraiment c’était notre routine et de plus je n’ai jamais renoncé à m’occuper de moi car à 46 ans on comprend que la vie doit être vécue sans en perdre une miette.

Mon prénom c’est Mireille, une belle plante (si j’en crois les regards extérieurs) de 1,68M pour 62 kilos avec une taille fine, des hanches larges et un fessier rebondi. Très féminine et bien en chair je consacre du temps à me faire belle pour moi mais aussi pour mon plaire à mon mari.

Par exemple j’expérimente des rasages différents au dessus de mes lèvres afin de le surprendre. Des fois un triangle au dessus de la fente, une autre fois un rasage intégral, puis un classique «ticket de métro».

Pour faire ma cochonne de base (faut dire que j’adore ça) je commande sur les applications plein de micros dessous ultra transparents et sexy qui mettent en valeur mon gros cul cambré. Les mecs en sont friands! Tous ces petits détails subtils m’ont toujours donnés une forte confiance en moi face aux hommes même si je suis maintenant une femme mariée.

J’aime aussi quand je suis seule, me faire jouir fort en regardant des films pornos ou en dialoguant avec des hommes au téléphone rose. Pour moi c’est comme faire l’amour donc je me dois de prendre une douche, me raser, me parfumer, et pour être raccord j’enfile des dessous bien coquins transparents comme ceux en dentelle rouge brodés de délicates petites cerises par exemple. Et c’est seulement après ce rituel que je suis prête à fantasmer en me faisant jouir sans retenue pendant une bonne heure.

C’était le cas aujourd’hui. Pressée par un chatouillement entre les cuisses j’étais décidée en l’absence de mon homme à prendre un maximum de plaisir égoïste en me tirant le cornichon ou en me caressant les tétons. Pour faire les choses dans l’ordre un passage à la douche s’imposait, un coup de rasoir entre les jambes pour dessiner un petit triangle et être nickel agrémentée de dessous bien porno, j’étais pas mal.

En descendant l’escalier je pris le temps de me mirer dans le grand miroir à l’entrée du salon. J’étais contente du résultat. Toute ma silhouette inspirait l’animalité de la femme.

J’avais chargé mes paupières d’un bleu turquoise soutenu et les cils outrageusement étirés augmentaient la vulgarité de l’ensemble. De plus ma lingerie rouge transparente ne cachait absolument pas ma vulve qui se dessinait tel un sillon sous la fine toile de tulle. L’idée qu’un homme me découvre comme cela provoqua une vague de chaleur dans mon ventre. J’étais prête à me faire venir.  

Je me suis laissée tomber dans le canapé en attrapant ma tablette pour lancer un film ou deux latinas à grosses fesses se gougnottaient sur un transat pendant qu’un mexicain moustachu frottait son gros engin gonflé entre les fesses d’une des deux.

Cette vision déclencha un besoin urgent à satisfaire « hum, vite » me dis-je en soulevant ma robe tout en écartant la dentelle pour atteindre mes lèvres avec un soupir de soulagement précipité.

C’est là que la sonnette retenti, brisant le calme de la maison et la montée de ma jouissance solitaire. La chatte en feu et un peu surprise, je suis allé d’un pas tremblant vers la porte prête à exploser de l’intérieur.

En ouvrant, je suis tombée sur un homme. Grand, souriant, et visiblement confiant. Il portait une chemise impeccable et une veste de costume bien taillée. Dans sa main, une mallette qu'il tenait d'une manière presque nonchalante.

 

« Bonjour, madame, je suis Thomas. Je représente une société qui propose des systèmes de pompes à chaleur. Vous avez peut-être déjà entendu parler de nos offres ? ».

 

Sa voix était assurée, douce. J’ai eu un instant d’hésitation. En temps normal, j’aurais probablement décliné poliment, mais il y avait quelque chose chez lui qui m’a retenue et surtout la tension de mon clitoris qui dardait sous ma robe et qui n’arrivait plus à dégonfler devant ce male si sensuel. Je me suis surprise à répondre :

 

« Bonjour, entrez, je suppose que je peux prendre quelques minutes pour écouter au fait je m’appelle Mireille ».

 

Je faillis craquer et lancer une phrase du genre : « Au fait mon mari est absent toute la semaine » mais je n’ai pas osé franchir le pas.

Il a souri, un sourire franc, carrément craquant. En quelques secondes, il était dans mon salon, sa mallette posée sur la table basse, et il commençait à me parler des avantages d’un système de pompe à chaleur. Et là, je compris ce qu’il m’arrivait quand chaque fois qu’il prononçait le mot « pompe » je me voyais à genoux devant lui avec son énorme membre dans la bouche.

Mon esprit était dans une rêverie délicieuse prolongeant l’instant, cela me permettait d’observer les petits détails de son visage, la manière dont il bougeait ses mains en parlant et surtout de saliver en voyant l’énorme bosse entre ses jambes.

 

« Il doit être sacrément monté » me dis-je dans ma tête, « c’est une aubaine avec une telle faim j’ai trop d’la chance d’avoir tiré le bon numéro ». Il continuait son monologue commercial en mode automatique sans dévier d’une virgule.

« Vous avez une grande maison, c’est sûr qu’un système comme celui-là pourrait vous faire économiser beaucoup, surtout avec des hivers comme ceux qu’on a. »

 

J’ai hoché la tête, mais en vrai, mes pensées étaient bien loin des économies d’énergie. Je me suis sentie un peu coupable de ce que je ressentais, mais c’était plus fort que moi. Ce n’était pas qu’il était particulièrement beau, mais il dégageait quelque chose de sexuel, une certaine assurance. De plus son outil que j’imaginais massif et veineux glisser lentement dans ma fente baveuse, agissait comme un traitement hypnotique.

 

« Vous vivez ici avec votre famille ? » demanda t’-il soudainement, comme pour briser un silence qui s’était installé entre nous.

« Oui… enfin, juste avec mon mari nous n’avons pas d’enfant et il est souvent en déplacement, alors je suis seule la plupart du temps. »

 

Il a hoché la tête, comme s'il comprenait parfaitement. Un autre sourire, cette fois un peu plus subtile, s'est dessiné sur son visage.

 

« Ça doit être difficile, parfois, ca doit vous démanger, comment faite vous ? »

 

Sa phrase, si simple, m'a presque prise au dépourvu. Difficile ? Oui, c'était parfois difficile. Mais ce n'était pas vraiment quelque chose dont je parlais, surtout pas à des inconnus. Pourtant, à ce moment-là, ça m'a frappé à quel point cette remarque résonnait en moi. Je me suis sentie soudainement vulnérable.

 

« Oui... ça l’est. Je fais comme tous le monde ».

 

Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. Peut-être que j’avais besoin de l’admettre à quelqu’un, à n’importe qui, même à un parfait inconnu. Ou peut-être que j’avais juste envie qu’il continue à me regarder avec cette attention qu’il me portait depuis qu'il était entré.

Le silence s’est installé de nouveau, mais cette fois, il était plus lourd. Une tension que je n’arrivais pas à ignorer. Thomas a fermé sa mallette lentement, mais au lieu de se lever pour partir, il est resté assis là, me regardant et en fixant les bretelles en dentelle rouge de mon soutien-gorge qui dépassait de mon tee-shirt.

 

« Tu sais, » a-t-il commencé doucement en me tutoyant, « c’est pas facile de garder un équilibre quand on est souvent seul. Je comprends parfaitement d’ailleurs fagotée avec tes dessous de radasse et vu que tu es maquillé comme une voiture volée, tout le monde comprend bien que tu veux te faire remplir la moule ».  

Je l'ai regardé, en déchiffrant il avait parfaitement cerné la situation. Ses mots semblaient crus, mais il y avait quelque chose de plus dans son regard. Un mélange de compréhension et... d’autre chose. Je sentais mon cœur battre un peu plus vite. C’était stupide. Je ne connaissais même pas cet homme. Mais la solitude que j’avais ressentie ces derniers temps semblait tout à coup plus lourde.

 

« Ha, euh, ben. » Ma voix était plus faible que je ne l’aurais voulu car j’étais morte de honte et je mesurais tout le ridicule de la situation et d’être cataloguée comme une femme de petite vertu.

 

Il s’est levé doucement, mais au lieu de se diriger vers la porte, il s’est approché de moi, doucement, sans se presser. Mon cœur battait la chamade, mais je n’ai pas bougé. J’aurais pu, je le savais. J’aurais pu me lever, lui dire que c’était le moment de partir, mettre fin à ce moment. Mais quelque chose me retenait (surement mon clitoris dressé comme un cobra dans la dentelle).

Il s’est arrêté juste devant moi, me regardant droit dans les yeux. Il n’a pas dit un mot. Ses yeux parlaient pour lui, et j’ai compris. C’était un moment où tout pouvait basculer. Je sentais la tentation, cette envie irrépressible, mais aussi la culpabilité qui montait en moi. Pourtant, je n’arrivais pas à détacher mon regard du sien.

 

« Je devrais partir mais… » A-t-il murmuré. Mais il n’a pas bougé «Je bande comme un âne et vu que j’ai les baloches en fusion et que toi tu as l’abricot affamé on peut s’arranger vite fait bien fait mais ce n’est pas qu’une question d’hygiène rassure toi» termina t-il comme pour me sécuriser.

Et là, c’est comme si le temps s’était figé. Je savais que ce n’était pas bien. Je savais que je ne devrais pas être dans cette situation. Mais je me sentais prise au piège de mes propres émotions, de ce besoin de me sentir vue, désirée, vivante.

Il a fait un pas de plus, tout doucement, comme s’il attendait encore que je lui dise de s’arrêter. J’aurais dû, mais je ne l’ai pas fait, j’ai fait l’exact opposé en faisant glisser ma robe pour qu’il découvre mes dessous.

Je me suis retourné en lui disant cash :

 

« Regarde mon gros cul, il attend un bon coup de bite comme une pétasse de rue et après je te lècherai le gourdin du nœud jusqu’aux boules ».

 

Mon souffle s’est coupé un instant je n’en revenais pas d’avoir tenu de tels propos, pourtant c’était bien moi qui avait déclamé cette phrase, une trop longue abstinence surement.

Il s’est penché légèrement, et ses lèvres ont frôlé les miennes. En un simple contact de nos corps et dans un même geste presque une comme une caresse, j’ai fais glisser mon string en dentelle découvrant mon intimité fraichement rasée. Cela suffi pour le faire accélérer car il se déshabilla en un éclair et je pus enfin admirer son sexe en pleine lumière, c’était bien le machin énorme que j’imaginais dans mes rêves.

Malgré cette vision je n’ai pas reculé au contraire, je me suis avancée légèrement pour prendre « la bête » dans ma main. C’était une magnifique tige épaisse d’une vingtaine de centimètres parcourue de grosses veines et se terminant par un gland gonflé caché dans une peau plissée. La pine de Thomas avait la dimension d’un tube de dentifrice avec deux boules qui pendaient en dessous d’une peau distendue. Il était intégralement rasé sauf au dessus du membre ou il avait conservé un carré de poil coupé court du plus bel effet.

Mes caresses presque hésitantes au début puis de plus en plus assurées ont vite fait de faire se dresser la biroute de mon amant du soir. Je tirais sur l’engin pour bien le décalotter et venir poser mes lèvres sur le méat pour récupérer les premières gouttes au fond de la gorge.

Il s’écria d’un coup :

« Mais t'es vraiment une garce, tu viens t’abreuver des premières gouttes, tu as vraiment faim »  il ajouta « ne sois pas inquiètes avec ton gros cul tu m’as mis le barreau et pas qu’un peu,  je vais foutrer plusieurs fois, c’est certain ».

 

J’étais véritablement hypnotisé par sa taille semblable à un saucisson du coup les mots sortirent tout seul de ma bouche.

 

« Tu n’es pas le seul à bander viens donc un peu m’astiquer le berlingot, si t’es un homme, moi aussi j’ai envie de décharger à force de tirer sur ton zob » lui dis-je et de rajouter pour tenter de l’impressionner  « viens donc fourrer ta langue dans ma grotte et profite en pour faire tourner ta langue sur ma rosette, histoire de bien préparer le trou car je vais prendre cher avec ta pine de taureau. » « Mais avec plaisir madame » dit il en descendant sa bouche vers mes grosses fesses.

Je sentis sa langue visiter tous les plis de ma muqueuse anale, c’était divin. Il m’attrapa le clitoris entre les doigts de son autre main l’orgasme fut immédiat et violent. Ne tenant plus je lui dis :

 

« Viens vite me déboiter le cul j’ai le feu à l’intérieur, tu finiras dans ma chatte, pour que je prenne mon pied aussi » Après cette phrase lourde de sens je traversais le salon vers la table en pensant maitriser la situation, je me trompais lourdement.

 Je suis venu me tenir debout contre la table face au miroir, Thomas est venu derrière comme promis me lécher la rosette abondamment puis à appuyé son gland dessus le temps que je décontracte mon sphincter, soudain d’un coup comme par magie le membre coulissa jusqu’à la hampe, je m’écriais : « va s’y mon salaud enfile ton démonte pneu jusqu’au fond ».

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais quand il a finalement sorti son engin de mon fondement, j’ai pensé qu’il allait pénétrer l’autre trou pour que je puisse prendre mon plaisir comme je lui avais demandé.

 

« Oui va s’y casse moi la moule maintenant que je gicle de la chatte. » Ma voix tremblait un peu pensant au plaisir que j’allais prendre. C’est la que je compris que j’étais devenue sa chose.

« Mais non ma radasse tu ne prendras pas ton plaisir avec mon vié dans ta fente,  je vais juste baiser ta rondelle et me vider les burnes sur ta langue » dit-il, son regard était plein de domination, mais aussi d’excitation car il m’encula à nouveau d’un coup sec. Il continua : « Comme tu es une garce soumise je suis sur que c’est d’être frustrée qui t’excites le plus, aussi quand je me serais bien soulagé tu me nettoieras la biroute avec ta langue et seulement après tu te finiras toute seule comme une gueuse ».

Et c’est là que j’ai compris que, peu importe ce qui arriverait après, cette journée marquerait un tournant dans la compréhension de ma sexualité. C’était un moment où je devais choisir et accepter mon statut de soumise.

Le silence après ce moment semblait lourd, presque palpable.

Thomas était toujours là, derrière moi, son chibre profondément enfoncé comme savourant ma confusion. Je sentais mes pensées se bousculer, comme si une partie de moi voulait tout arrêter là, pendant qu’il était encore temps, mais une autre partie... celle qui se sentait seule depuis si longtemps, voulait que ce moment continu et que je ne retienne plus ma sexualité.

J’ai agité mes fesses sans trop réfléchir, comme pour m’échapper de cette tension. Je sentis le jet de foutre s’étaler dans mon cul et la rapidement en me tournant j’ai pris son chibre entre mes lèvres pour un nettoyage en règle. En quelques secondes cette soumission fit monter la chaleur dans le ventre. Le poids des années, la routine avec Marc, les absences, tout semblait se dissiper un instant. Je voulais me sentir vivante, et c’était à la fois terriblement tentant et humiliant.

 

« Mireille c’est très bien tu peux te mettre dans le coin et t’astiquer la motte, quand t’arrives je te tirerais sur les tétines pour que tu viennes encore plus fort » dis Thomas d’une voix calme et pleine d’assurance. Il n’a pas fini sa phrase que j’étais déjà accroupie pour me finir, la tension dans mon corps était intenable, il se plaça devant moi saisissant mes 2 tétons en érection.

 

« Humm c’est fort, je pars.» Ai je crié dans un râle, immédiatement il tira sur les pointes et dis en même temps « Va s’y prends ton plaisir comme une vilaine que tu es » je tombais les bras en croix sur le tapis du salon dans une forme de plaisir que je n’avais jamais connue. À ce moment-là, il n’y avait que nous deux. Et  je mesurais bien que c’est la solitude qui pesait sur moi depuis si longtemps qui m’avais engagé dans cette direction improbable compte tenu de mon éducation.

 

Je ne l’ai même pas regardé. Je restais là, fixant le jardin à travers la vitre embuée, tout en sachant très bien ce qui se passait. Ma main tremblait légèrement, une vague de doute m’envahissant de nouveau. Pourtant, lorsque je l’ai senti juste derrière moi, ses doigts frôlant doucement mon bras, toute cette confusion a disparu.

Je me suis retournée doucement, levant les yeux vers lui. Nos regards se sont croisés, et cette fois, il n’y avait plus d’hésitation. Thomas s'est approché encore un peu plus, et je n’ai rien fait pour l’arrêter. J’ai levé la main et l’ai posée doucement sur sa poitrine. Je pouvais sentir son cœur battre, aussi vite que le mien. Ce contact, aussi simple qu’il soit, était électrisant.

 

« Tu es sûre de toi ? » Sa voix était basse, presque un murmure.

 

J’ai hoché la tête, incapable de parler. C’était comme si tout le reste n’avait plus d’importance. Juste ce moment. Juste lui et moi. Et la tentation qui nous poussait à franchir une ligne que je ne pensais jamais franchir.

Je me suis avancée encore un peu, et cette fois, il m’a pris dans ses bras, me serrant doucement contre lui. C’était un geste si naturel, si réconfortant. Ses lèvres ont trouvé les miennes une nouvelle fois, et ce baiser, loin d’être hésitant, était plein d’une intensité que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Mes mains glissaient le long de ses épaules, explorant cette proximité nouvelle, alors que je sentais ses doigts caresser doucement mon dos, m'attirant un peu plus près.

Je savais où tout cela menait, et cette fois, je ne voulais plus résister. Mon esprit était embrouillé par une avalanche de sentiments contradictoires, mais mon corps, lui, répondait sans hésitation à chaque geste, chaque contact. Thomas a glissé ses mains le long de mes bras, puis a doucement pris ma main dans la sienne.

 

« Tu connais les conséquences… » Sa phrase s’est arrêtée là, mais j’ai compris.

 

Je l’ai entraîné doucement vers la sortie, sans dire un mot. Chaque pas que nous faisions résonnait dans la maison silencieuse, une maison qui avait été trop vide pendant trop longtemps. Je sentais l’excitation monter en moi, mais aussi une certaine peur. Peur de ce que cela signifiait. Peur des conséquences. Mais en cet instant précis, je savais que plus rien ne serais comme avant.

 

« Tout vas bien ne t’inquiètes pas, j’ai pris ma décision » lui dis-je « nous nous verrons quand tu le voudras et quand mon mari sera absent, ces moments avec toi sont tellement forts que je veux les vivre à fond » ai-je  murmuré en caressant doucement ses cheveux.

« Oui… moi aussi » murmura Thomas avec un sourire charmeur.

 

Je savais que je venais de franchir une ligne. Mais ce moment qui semblait tout droit venir d'un récit érotique m’avait offert quelque chose que je n’avais plus ressenti depuis trop longtemps. Une connexion, une chaleur, un souvenir de ce que cela faisait de se sentir vivante.

Retour

Vous pouvez essayer avec nos charmeuses